Actrice, autrice, Pauline Ribat affirme peu à peu sa position de metteuse en scène.
Depuis l’aube (ode aux clitoris), sa première mise en scène, rencontre un vrai succès public et compte à ce jour près de 60 représentations.
En 2015, lors des 55èmes Rencontres d'été de la Chartreuse, Catherine Dan (la directrice de La Chartreuse) lui confie la mise en voix de Solo di me, une pièce de Francesca Garolla.
En 2016, Grégoire Callies la sollicite pour le mettre en scène dans Hors de moi (d'après des textes de Toon Tellegen) et Joséphine Serre lui confie la collaboration à la mise en scène de Amer M., texte lauréat du CNT en dramaturgie plurielle et des Journées de Lyon, et celle de Data Mossoul en 2019, créé au Théâtre national de la Colline.
Elle vient tout juste de créer Dans les cordes, son deuxième projet d'écriture et de mise en scène.
DANS LES CORDES Texte et mise en scène : Pauline Ribat Interprétation : Vanessa Bettane, Florian Choquart, Sébastien Desjours, Marilyne Fontaine, Nolwenn Korbell Collaboration à la mise en scène : Baptiste Girard Scénographie : Jean-Baptiste Manessier Lumières : François Menou Composition musicale et sound-design : Guillaume Léglise Costumes : Aude Desigaux Dramaturgie : Lise […]
En savoir plusTout commence toujours par une histoire d’amour (soliloque autour d’une disparition) – Nouvelle création Texte et mise en scène : Pauline Ribat Jeu : Anna Bouguereau ou Pauline Ribat Dramaturgie : Lise Werckmeister Collaboration à la mise en scène : Lise Werckmeister et Baptiste Girard Scénographie : Anne Lezervant Création Lumière : François Menou […]
En savoir plusFUTUR(E) DE SOI – Installation vidéo et audio (Création en 2023) Futur(e) de soi est une installation vidéo et audio à destination des enfants, mêlant leurs secrets leurs questions et leurs regards sur le monde. Conceptrice du projet : Pauline Ribat Collaboration : Tiffany Duprès Matière visuelle : Tiffany Duprès Montage : Mathieu […]
En savoir plusEn 2013, par hasard,
J’ai découvert le reportage de Sofie Peeters, jeune bruxelloise ayant caché une caméra dans son sac pour témoigner des regards et des invectives de certains hommes à l’égard des femmes.
“IL Y AVAIT URGENCE.”
Et puis se sont confiées lise, estelle, Charlotte, hélène, ma vendeuse de chaussures, ma bibliothécaire, des collègues de travail, ma mère. Toutes, nous avions comme une expérience commune : dans le métro, un homme me fixe avec insistance. Il regarde mes seins, mes chaussures. Je les ai achetées
le lendemain de mon agression à Metz.